Du cabécou, des noix et des fraises. De belles truffes noires et du foie gras aussi pour sublimer les plats au summum d’une gastronomie française. Dans une Vallée de la Dordogne, des meilleurs produits de la ferme, des trésors de la nature et des douceurs fruitées colorent les marchés, puis, régalent des fines bouches, ensuite, célèbrent une richesse du terroir exceptionnel.
La truffe, le diamant noir
Par hasard, n’espérez donc pas tomber sur le joyau comestible. Il faut avoir un œil sacrément exercé, un bon chien truffier ou du nez pour dénicher une truffe noire du Périgord. Aucun champignon ne peut pas combler autant des amateurs, avec le parfum puissant, l’arôme subtil. C’est toujours frais qu’elle est une bonne, reine de marchés des producteurs d’une Vallée de la Dordogne, qui est entre décembre et mars. De mois de mai à fin de mois d’août, sa variante d’été peut enchanter des papilles en beurre râpé ou truffé sur le plat de pâtes. Le bonheur a donc un prix, qu’une rareté justifie : des trufficulteurs d’une Vallée de la Dordogne peuvent se contenter dorénavant de centaines de kilos lorsque la truffe peut s’y ramasser à une tonne au moment du 19 e siècle.
Magrets, confits, autres délices et foie gras
Dans une Vallée de la Dordogne, puis surtout dans un département du Lot où vient une tradition, on parle donc de canard gras, c’est celui qui est engraissé afin de produire un fameux foie gras qui est présent en France sur les différentes tables de fêtes, et aussi cous farcis, pâtés, magrets et les confits. Qu’on peut s’émouvoir ou pas d’un gavage, la technique qui remonte en Egypte, c’est difficile de résister au plaisir d’une dégustation d’un foie gras qu’il soit mi-cuit, cuit ou poêlé. Pour des secrets de fabrication, plusieurs petites fermes ouvrent, dans une bonne humeur, leurs ateliers et portes aux visiteurs.
L’agneau du Quercy est tendre
Là-haut, sur des causses, comme on appelle des hauts plateaux d’une Vallée de la Dordogne, il existe de l’herbe rase, des murets de pierre qui sont sèches et des beaux chemins d’une randonnée. Il y a aussi des brebis qui sont aux yeux cerclés de noir. La légende peut raconter qu’un berger, qui veut protéger des yeux des moutons, leur dessine un jour le rond au charbon des bois. Depuis, des agneaux naissent avec un œil bien noir. Appellation de provenance protégée, un agneau fermier ou un agneau du Quercy est donc élevé sous la mère, jusqu’à soixante-dix jours, à une ombre de grands chênes du causse.